lundi 20 juin 2011

Des nouvelles de mon cas

Mon blog semble s'être arrêté en mars 2010. Des gens se posent la question de connaître la suite de l'histoire ! Donc, je résume ici le peu qu'il y a à dire sur mon cas personnel.

La mafia de Toulouse me laisse tranquille. J'ai appris que les chefs d'entreprise qui gueulent fort obtiennent des dérogations : c'est le même scénario qu'à la centrale nucléaire de Golfech. On fait taire la contestation qui vient des salariés en cessant de l'alimenter lorsqu'elle survient. On arrose avec de l'argent pour faire le silence sur la grogne. Ca évite de poser les questions essentielles d'existence et de constitution.

A la caisse des trous du cul proxénètes de Toulouse, ils ont tellement d'argent qu'ils se moquent éperdument de mon cas minuscule. Je n'ai même plus de salarié, et ils continuent de m'expédier leur bulletin. Ils se targuent de leur action pour la prise réelle des congés payés par les salariés pour justifier le rackett qu'ils organisent. Mais leur but inavouable est clairement de faire du pognon. En fait, je n'ai aucune nouvelle d'eux.

Maintenant, je les ai tenu personnellement en respect mais c'est bien peu. Il faudrait s'acharner à aller voir les collègues du bâtiment, les informer, les convaincre des vertus d'une démarche de désobéissance totale. Qui a le temps de faire ceci ?

Comme je suis militant antinucléaire, je consacre mon maigre temps libre à tenter de contrer la propagande des psychopathes criminels qui nous imposent leur système de production de dette radioactive. Car un accident majeur nous attend tapis dans l'ombre, c'est évident. Si seulement, nous pouvions l'éviter. Alors je n'en fais plus autant pour lutter contre les autres débiles privilégiés de la caisse de congés payés qui s'en mettent plein les fouilles avec le travail des salariés.

Mais je reste actif avec le 4C-BTP, le collectif national que nous avons monté l'an passé.